« Dit, le destin y est pour deux quelque chose ? » ft Yoon A. Shun.

Dans une vie, il y a toujours de l'espérance, car sans cette ''espérance'', tout semblerait si difficile. La facilité des choses vient de l'ambition, quand on se donne à 100%, quand on ne pense qu'aux efforts donner. Car rien n'est offert et tout se paie.

« La résistance d'une amitié solide, n'existe pas. Elle n'existe que quand il est réalisable. »

Une amitié féminine, une amitié masculine, on en voit tous les jours. Mais qu’est-ce qu’il en est de l’amitié féminine/masculine ? Pourtant, tout le monde est un être humain et tout le monde peut s’entendre avec tout le monde non ? Mais pourtant, cette amitié est rare, car la peur d’avoir le coup de foudre, d’éprouver des sentiments ou encore de tomber amoureux est souvent l’obstacle à franchir. A chaque fin à son histoire, puisque rien ne se contrôle et rien ne peut être voulu ou non voulu. La peur de perdre des êtres que l’on aime plus que tout, et la joie de pouvoir être avec la personne que l’on aime plus que tout. Nuance ? Rien n’est impossible, puisqu’un problème à toujours une solution. Aujourd’hui, je n’ai qu’une idée en tête, prendre un peu de recule, et remettre ma vraie personnalité à l’avant. Je n’avais jamais eu le temps de le faire auparavant, et enfin, le temps se présente à moi. Je sors donc de l’établissement, histoire que personne ne puisse me voir. Je me retrouve à l’extérieur, avec un air de contentement. Je me dirige vers l’extérieur de la ville, vers un endroit très peu fréquenter. Un joli parc, des enfants courant l’un derrière l’autre, d’autres qui jouent au bac à sable et leurs parents qui garde un œil sur eux. De la méfiance ? Pas du tout. La surveillance très approché des parents montre le sentiment d’affection et d’amour. L’histoire commence dès ce fin d’après-midi là, quand je décide d'aller faire quelques tours, et de prendre l’air. Marchant a travers la forêt, j’avais cette sensation de liberté. Libre de pouvoir remettre mes idées en place et de m’interroger sur moi-même. Me posant diverse questions à laquelle, je n’avais nullement la réponse. Je restais donc là, assise, le regard dans le vide..

« Dit, le destin y est pour deux quelque chose ? » ft Yoon A. Shun. Yoo_bm10

« Où es-tu à ce moment précis ? Que fais-tu ? A quoi penses-tu ? Avec qui es-tu ? »

Ce paysage, je le vois tout les jours. Il ne change jamais, mis à part les marques et les couleurs des voitures qui défilent. Les personnes à pied et la décoration des magasins accueillants qui décidaient de refaire leurs décorations. Que cela soit intérieur ou extérieur. Bref. Ce paysage était le même à chaque fois, pourtant je ne me lasse pas à le capturer dans cette boite noire. En photographie, ce n'est pas le photographe qui est important, mais l'objet ou le paysage qui est pris en photo. ‘Pourquoi cette passion ?’ me demande-t-on si souvent. Parce que sans ses photos, j‘oublierais un jour ou l‘autre. Et je ne veux pas oublier. Je neveux rien oublier. C‘est pour cela qu‘à chaque fois que je les regarderais dans quelles que années, je me souviendrais de tout. De tout.

Prenant sous différents angles, les petites rues de Séoul, bien moins peuplées que les principales. Rien de bien extraordinaire pour les habitants de la capital, mais il appréciait tant la photographie, puis prendre d'aussi simples paysages lui suffisait amplement. Ils étaient simple mai plaisant et très sympathique. De simples paysages mais tout à fait charmants. 'Fin bref. Photographiant sous différents angles les mêmes ruelles, cela lui ferait de belles décorations pour les murs de sa chambre à Thumbs Up Project. Après avoir passé plus de deux bonnes heures avec un appareil photo dans les mains, Yoon continuait son chemin, le casque noir sur ses oreilles percées. Marchant tranquillement entres des inconnus qui avaient, eux, l'air assez pressés. Le bruit assourdissent de la circulation gâchait, malheureusement, la musique qu'écoutait avec plaisir Akira. Cela lui arrivait de renter l'épaule dans celui d'un inconnu sans même que ce dernier ne bronche ou ne s’excuse et lui en fit de même. Si il devait s'arrêter pour s’excuser même si ce n'était pas de sa faute, cela deviendrait une habitude. Les rues dans lesquelles se promenait le jeune homme aux cheveux châtains étaient assez peuplés, malgré lui. Il devrait penser à prendre des chemins moins .. étroits ? C'est cela. Avec plus d'écart. Dans ces cas là, il se sentirait bien moins oppressé. Là, il l’es trop. Bien trop oppressé à son gout, trop pour un claustrophobe souvent pris entres cinq murs vivants, rapprochés, n'ayant qu'un seul échappatoire. Lève la tête et le ciel tu verras. Et c'est bien pour cette raison qu'il changea de chemin cette fois-ci. Un endroit moins bondé, juste un peu plus calme malgré le bruit de la foule derrière lui. Il passait devant un parc, des enfants se couraient après sous les regards protecteurs de leurs parents. Leurs rires innocents. Les pleurs des plus petits. Cette scène fit sourire le solitaire. Il rallumait son appareil pour prendre plus d’un cliché. Et reparti un sourire fragile quo écartait les lèvres de son visage apaisé. Il avait connu tant de stresse et ces derniers jours n’ont pas été les meilleurs pour lui. Ce dégourdir les membres et changer d’air ne pouvait lui faire que du bien. La musique changea de registre, passant d’une musique bougeant à une musique calme, jouée au piano par un compositeur très connu, surtout au Japon et au Etats-Unis.

Arrivé devant l’arrêt de bus, l’un de ces derniers s’arrêta pour emmener ceux qui voulait, peu loin de l’extérieur de la ville. Akira monta à l’intérieur, paya et alla s’assoir à une place vide. Il y avait peu de gens tiens. ‘Fin bref. Il descendit vingt minutes plus tard, et continua sa marche pendant un quart d’heure encore pour enfin arriver à son but. L’ombre de leurs feuillages firent baisser la luminosité que les rayons ardents du soleil dégageait sur la forêt paisible. C’était rare de croiser des personnes ici, et les paysages étaient magnifique, surtout grâce à la luminosité qu’elle dégageait. Il préparait déjà l’engin qui lui avait couté cher. Il fit glisser son casque autour de sa nuque, montant le sons pour tout de même, écouter la musique sans avoir ses oreilles cachées. On ne sait jamais. Il peut avoir des motards ou des cyclistes malhabiles qui sait ?